vendredi, avril 20, 2007

Il n'empêche par excès

N’empêche, c’est difficile, ça laisse un arrière goût que j’aime pas des masses, le rejet. M'en suis enchaînée une bonne dose en peu de temps, n'empêche, où c'est qu'j'vais m'arrêter... Et dans quel état... Je sais qu’il vaut mieux ne pas en avoir besoin si on veut que ça arrive, n’empêche, on m’a aimée une fois, et puis rien, pendant des années. J’ai traversé une bonne paire de mes enfers intimes en attendant, n'empêche. Et puis ça vous vide, n’empêche, les gens, quand on ne se sent pas aimé trop longtemps, on peut pas faire autrement qu’avoir besoin. Par moments. Et puis ça passe, n’empêche. Mais n’empêche, ça revient.

Z’allez voir, j’vous parie ce qui vous chante, quand tout ça aura fini de me cafouiller dessus, je finirai à mille et une lieux de là où j’ai l’air d’aller et qu’a de plus en plus la gueule d’une muraille chinoise.

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