Ho, ho, ho...
Je m'aperçois que l'avant-dernière trace que j'ai laissée ici est fort dubitative. La vérité, c'est que très peu de temps après ce 13 juin 2007, très exactement le 29 août suivant, j'ai rencontré et reconnu le meilleur papa de mes meilleurs enfants du monde. J'ai tant vécu et écrit pour créer mon métier depuis, que je n'ai rien écrit à ma vie.
Comme quoi le vieil adage, même en ces temps modernes et abstraits, tiens bon encore : c'est lorsque l'on lâche prise, lorsque l'on oublie d'attendre, lorsque l'on perd l'espoir, que l'espoir devient réalité.
Yesss'Papa m'aime. Et je l'aime aussi. Très fort. Presque comme la famille. Si on lui faisait mal je réagirais pareil. Or, mes propres ennemis, mes propres dangers, j'arrive à les considérer comme amis et tenter de comprendre la source de leur propre mal, mais lorsqu'il s'agit des ennemis de la famille, je suis cap' de remettre la guillotine au goût du jour.
Voyez. Très fort.
C'est mon trésor. C'est le papa de mes enfants. C'est mon petit nid de paix. Yesss'Papa.