Finalement...
Maintenant que c'est fini, j'aime pas. Trop lourd trop sombre trop beah. Alors on va en rester au pas fini. Un cahier des possibles, ça mérite son joli quand même.
En gros, l'idée, c'était un ponton, à prolonger en pont, derrière nous, des ombres angoissées, devant, de l'autre côté du fleuve, des enfants arc-en-ciel construisent des châteaux de sable dans les nuages. Deux lignes de texte. Nous bâtirons des ponts entre nous et le ciel. Et des châteaux de sable éternels.
Parce que... "on est pareil avec les gens", lui et moi. Surtout ceux, tout déglingués, qui arrivent baveux de larmes en clâmant "câââliiiiiin"... Et parce que... Y'a qu'un point sur lequel on se comprend vraiment. Mais quel point... Les enfantises.
Et aussi parce que... parce que... peut être... peut être que l'on vivra un jour.