La polytics, les polytics hards, et la sauce y était
De ce que j’en sais, la politique se résume à ça : en temps de guerre, il faut savoir choisir son camp, sachant qu’il n’y en aura jamais plus de trois (le camp de la bonne cause, le camp de la traîtresse lâcheté fuyarde, et le camp de la bête noire) tout en restant conscient du fait que les rôles sont interchangeables de façon peu prévisible.
Puisque tout est toujours tout gris, puisque pour tout, il y a un argument incontestable pour et un argument incontestable contre, puisque même les pires horreurs sont compréhensibles lorsqu’on les regarde du point de vue de l’homo horribilus, puisque plus on discutaille, plus on s’éloigne des essentiels et puisque c’est comme ça, moi, j’ai choisi mon camp. J’ai migré sur une autre planète. Ça me donne un petit air penché que vous reconnaîtrez facilement. Surtout, ne me suivez pas.
Gens, votre Histoire ne sert qu’à semer la pagaille dans votre Géographie, comme qui dirait. Et c’est rien en comparaison à la pagaille que votre Géographie sème dans votre Histoire.
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