Quand y'en a plus, y'en a encore
I. ne me pardonnera jamais la souffrance à laquelle je me suis laissée aller. Le bourreau a été trop loin. Il en a fait voir à toute la famille. I. sera le gardien de la rancune. Dans ses yeux, je ne pourrais jamais rien oublier, chaque grain de mal-être dans la famille, sonnera comme un mea culpa.
Quand on était petits, on se bagarrait beaucoup. A l'adolescence, on n'échangeait plus un mot. Plus tard, on était devenu de proches amis. C'était si bon... J'ai mal du mal que je lui ai fait. J'ai mal du mal qu'il me fait. J'ai mal d'avoir perdu son amitié.
Je ne voulais pas... Je suis désolée... Je l'aime si fort...
Il détesterait lire ces mots, au vu et su de n'importe qui. Tant pis... Tant pis...
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