vendredi, juillet 02, 2004

Remplir le vide naturel de naturel n’importe quoi ?

Oh, mais non. Non, non. La chasseresse ne remplit que le vide de ses cartouches. Elle cogite. Il y avait trop de ceci et trop peu de cela. Rajouter un peu de cela, enlever un peu de ceci. Puis voir ce que les cerfs volant apprécient. Observer. Tenter. Découdre. Broder. Les sachets de poudre. Un pour l’escampette, un pour les yeux, un pour perlimpinpin, un pour le canon (santé), un pour la neige. Enfourcher Pégase. Survoler les toi, les liens qui se nous, au fil des moi, sur les ils, elle se vous à la tâche. Que le temps passe. Tant qu’elle lui laisse le temps. Entre temps, l’à venir se dessine. Il se décide déjà pour les cerfs volant. Ça d’pris aux lièvres. Ça de mis dans le vide du bide avant même qu’il ne songe à gargouiller. Ça n’est pas n’importe quoi. C’est une tendance à la paix et au silence.

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