Qui me nervent, qui me nervent, qui me, qui me, qui me nervent...
Pardon, je craque.
Deux semaines aujourd'hui, que je leur ai mâché tout le boulot, qu'ils n'ont plus qu'à prendre une minute pour mettre en ligne ce que t'manières, ils ont tapé sur leur ordi, et, et, et ?
Et rien. Sur 20 inscrits, trois stagiaires (pes) ont eu la politesse de répondre au moins à l'invitation, dont une qui n'aurait pas eu l'idée de le faire si sa machine n'avait plantée, effaçant tout au passage.
Je me souviens, maintenant, pourquoi la vie est plus simple en solo. Pour bouger l'cul des gens, faut se lever tôt... Limite, vaut mieux pas se coucher.
J'ai les nerfs en pelote. J'ai envie de leur rappeler que j'suis pas une pub, que derrière les mots, y'a moi, chair et os compris, toute affairée pour le bien de tous. M'enfin bon. Z'en ont rien à s'couer. J'fais ce que j'veux d'ma vie après tout... Et si j'ai envie de perdre mon temps, quoi ? C'est tout bénéf' pour eux. Vont pas s'enquiquiner à m'envoyer deux mots. Laisse tomber.
Je demande trop, je suis trop impatiente pour y arriver. Tais-toi mon impatience. Laisse leur encore un mois. Si ça continu, tu vireras le site après. Pas maintenant. Retiens-toi. Laisse faire. Enfin... Ne pas faire...
J'crois que j'ai mangé un lion cette nuit. Longtemps que je n'ai pas été si fâchée contre le monde entier. (Non mais non ! Pas vous !)
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