lundi, février 05, 2007

(sic)

“[...] L'écriture, sans cesse contestée par nous-mêmes, d'un scénario exige un travail d'une violence dont je n'avais pas idée avant de commencer. Il faut une patience surhumaine, il faut une modestie sensationnelle mais aussi un orgueil hors du commun sans lequel on n'arriverait pas au bout, [...] au bout de l'histoire dont il n'est pas question de douter [...]. Quand je doute, je recommence tout ou une partie de ce que j'ai écrit, en hurlant de dépit et de fatigue. Vous imaginez aisément nos moments de joie, de gaieté, d'enfance, ou, c'est ça, d'innocence, nos larmes aux yeux ou nos fous rires. Ce que vous n'imaginez pas, ce sont les moments de désespoirs.”

JL Dabadie

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