(sic)
Une amie artiste, depuis des mois, inlassablement : Pendant que tu te cognes inutilement à celui qui ne veut pas de l'amour que tu veux lui offrir, centrée seulement et obstinément sur lui, de plus en plus fermement enfermée dans ta grotte, tu en prives des centaines de personnes auxquelles il serait bien utile et ferait du bien. Remets-toi au service de la vie, et laisse les morts à leur mort.
Popette : Mais... mais... mais c'est triste... je veux pas...
Une amie artiste : Préfères-tu vraiment abandonner des centaines qui cherchent la vie pour un seul qui a choisi d'y rester aveugle ?
Popette : Personne... personne ne doit être laissé pour mort.
Une amie artiste : Personne, personne ne peut choisir pour un autre. Le libre arbitre, c'est incontournable. C'est toi que tu laisses pour morte dans cette histoire.
Popette : ... *soupir*... ça fera encore un... encore un laissé pour compte... je préfère me dire que la vie fera ce que je n'ai pas su faire pour lui.
Une amie artiste : Parfait ! Dehors ! Ouste ! Du monde t'attend !
Un inconnu artiste, ce week-end : Tu sais... tu es intelligente... et tu sais des choses que d'autres ne savent pas... ou qu'ils savent, mais leurs subconscient n'arrive pas à leur remettre certaines choses à la conscience... des fois entendre de la bouche d'une tierce personne pour qui l'on pense avoir de l'intérêt... peut tout changer à la façon de comprendre certains pourquois...
Popette : Ca m'donne des larmes ce que tu m'dis.
Un inconnu artiste : Eh oui, tu fais du bien.
Et j'ai pas encore mis le nez dehors :o)